Qu’on y aille ou qu’on y crie, que l’on joue avec ou qu’on y mette sa main, souvent le feu rappelle au danger, au risque. Il est ce qui réchauffe et protège mais aussi ce qui brûle et consume, les hommes et les cœurs, les livres et les idées. Bénédiction de la nature, symbole de la colère divine, le feu est multiple et insaisissable, parfois invisible mais toujours bien réel. Un nouvel appel à contributions qui fera chauffer le CAFE, une invitation à se jeter dans le feu de la traduction.