Instaurant un dialogue entre juristes et historiens du film, le livre propose un ensemble de réflexions
sur l’identité professionnelle du réalisateur de cinéma.
Loin de la vision de l’auteur de cinéma promue par la Nouvelle Vague, le présent ouvrage interroge la paternité des films sur le plan juridique. Partant d’études de cas courant de l’entre-deux-guerres jusqu’au temps présent, des visées comparatives sont ainsi proposées sur l’identité professionnelle du réalisateur. Instaurant un dialogue entre juristes et historiens du film, ce travail vient combler un manque dans la recherche et la réflexion sur ce domaine. À ce titre, il pourra répondre aux besoins tant des universitaires que des professionnels du cinéma et du droit.